Les chercheurs de l’hôpital Cedars-Sinai ont indiqué que cette conclusion s’applique à tous les hommes, peu importe leur race.
Près de 300 sujets ont été questionnés tant au sujet de leur niveau d’activité physique qu’au sujet de leur fonction sexuelle. Les scientifiques ont constaté que ceux qui ont dit faire 2 heures d’activité physique intense par semaine, 3,5 heures d’activité modérée ou 6 heures d’activité légère rapportaient aussi la meilleure fonction sexuelle.
En revanche, les hommes qui s’entraînaient le moins déclaraient aussi une fonction sexuelle moindre. Le diabète, l’âge, le tabagisme actuel ou passé et la maladie coronarienne contribuaient aussi à une mauvaise fonction sexuelle.
Un chercheur a prévenu que tout entraînement doit être adapté à celui qui l’effectue, avant de rappeler que même un peu d’activité physique est préférable à la sédentarité.